
Par: Arielle Bossuyt
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Votre manteau de grande personne est devenu trop grand, une jupe oubliée dans la garde-robe, un petit haut démodé. quand tu veux toi se débarrasser de de toi vieux vêtements il est d’usage de les stocker dans un conteneur prévu à cet effet, portant le sceau de l’entreprise chargée de leur récupération. Le plus célèbre est relais mais savez-vous que entreprise locale le temps Vernon (euro) se spécialise aussi traitement de toi vêtements déjà portés ? C’est Gebetex.
16 000 tonnes sont collectées annuellement
L’entreprise recueille 16000 tonnes de textile parmi tous France annuel et tri 4000 tonnes à Vernoy, sur son site internet. Le reste est livré Belgique et à Pays-Bas.
Chaque jour, les employés de Gebetex travaillent dur pour trier deux tonnes de textiles pour chaque personne. Et contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, trier les vêtements n’est pas si simple.
“Il faut être minutieux pour trier ses vêtements. Erreur de tri et le produit part directement à la décharge alors qu’il aurait pu être récupéré. »
Paul-Antoine Bourgeois dirige l’entreprise famille avec son frère Jean-Mayer. Depuis 15 ansl’entreprise applique recycler habille le plus vertueux c’est possible. Ainsi, chaque jour, lorsque les camions remplis de vêtements arrivent sur le site de Vernon, chaque employé sait ce qu’il doit faire. Sur leur table de tri, ils séparent les vêtements dans différents bacs en fonction de leur utilisation future.
Gebetex en chiffres
16 000 tonnes de textiles de toute la France sont triées en un an sur une surface de 2 200 m² à Vernon, comprenant la zone de tri et la zone de stockage. 25 – le nombre d’employés, dont 20 pour le tri et 5 pour la collecte. 52 : Le nombre de conteneurs répartis sur le tronçon Vernon
Magasin cible
“Les vêtements en bon état, qui répondent à la demande des consommateurs européens, sont destinés aux magasins de détail ou aux grossistes. Il fait référence à des articles vintage, de marque ou de sport. Des vêtements sont expédiés en Afrique qui sont encore portés, impeccables, mais ne susciteront pas l’intérêt du consommateur européen. Nous veillons à ce que ces vêtements soient en bon état. il n’y a aucune raison pour que le consommateur africain transporte des marchandises endommagées. »
Isolation, carburant, chiffons…
Les textiles jaunis ou teints seront utilisés pour fabriquer des chiffons et autres tissus. Certains vêtements inutilisables sont expédiés cimentiers et servira de brûlant. D’autres sont envoyés aux Pays-Bas pour être préparésisolant. Une paire de chaussures défectueuse est exportéeL’Europe de l’Estdans des usines qui restaureront la chaussure manquante.
Après le premier tri, un deuxième tri est effectué pour éviter erreurs. Une fois l’inspection terminée, le vêtement est redirigé vers le bâtiment voisin, oùemballage et stockage.
Aucun produit ne doit être perdu
Ce ballet quotidien est savamment organisé pour qu’aucun produit ne se perde.
« Nous avons tous vu les montagnes de vêtements dans les décharges en Afrique. C’est un vrai problème de société. Nous sommes vigilants sur le tri pour éviter une telle situation. Certains établissements s’amusent à collecter des textiles et à les envoyer directement en Afrique. Sauf si ces vêtements ne sont pas usés, ils vont directement à la décharge alors qu’ils pourraient être utilisés pour autre chose. D’autant que les pays africains accusent encore du retard dans le tri des ordures. »
Mieux comprendre les besoins consommateurs En Méditerranée, les deux frères rendent visite à leurs clients une fois par an allerà: Bénin ou pour Cameroun.
Sensibilisation du public
De plus, Jean-Mayet et Paul-Antoine Bourgeois veulent sensibiliser le grand public sur le tri et surtout sur l’usage des vêtements.
“Nous avons déjà établi une coopération avec une école près de Vernon, qui a également organisé une collecte de vêtements. Les enfants ont ensuite pu visiter l’entreprise pour comprendre la problématique du tri. »
52 conteneurs sur le Vernoy
dans la zone 52 conteneurs sont regroupés par nom d’entreprise, dont une bonne partie est utilisée par des organismes de bienfaisance. « Ils utilisent nos conteneurs pour déposer leurs dons de vêtements. S’ils en ont beaucoup, les associations nous les vendent. Le recrutement se fait une à deux fois par semaine », conclut Paul-Antoine Bourgeois.
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